Il sera bientôt possible d'implanter un ordinateur ou un téléphone mobile sur et sous votre peau, selon une nouvelle invention de circuits électroniques ultra fins.
Les avancées technologiques découlent sur des composants toujours plus petits, sans perdre en performances. Le magazine Science vient de rapporter une nouvelle invention de circuits électroniques ultra fins destinés à être implantés sur et sous l'épiderme.
Ce système aussi réduit qu'un timbre poste et plus fin qu'un cheveu, offre une flexibilité avantageuse sans perdre en performances. Quasiment invisible à l'œil nu, cette technologie s'adaptera à la peau par sa propriété hydrostatique, esquivant de ce fait l'utilisation de colle.
Les premiers circuits de test ont été conçus sur un composé de caoutchouc hydrostatique. Ils sont équipés de divers capteurs, émetteurs, récepteurs, mais aussi des antennes WiFi et des cellules photovoltaïques pour produire de l'électricité.
« Nous sommes à un point clé du mariage entre l'électronique et la biologie », souligne Yonggang Huang, professeur d'ingénierie de la Northwestern University d'Evanston dans l'Illinois.
Cette technologie sera utilisée à terme pour le grand public, mais elle est réservée pour l'heure aux recherches sur le corps humain, ainsi que dans une optique militaire. En effet, le porteur ne se rendra pas compte qu'il porte un tel système. Aussi, son utilisation dans le domaine de l'espionnage est envisagé.
Ce système aussi réduit qu'un timbre poste et plus fin qu'un cheveu, offre une flexibilité avantageuse sans perdre en performances. Quasiment invisible à l'œil nu, cette technologie s'adaptera à la peau par sa propriété hydrostatique, esquivant de ce fait l'utilisation de colle.
Les premiers circuits de test ont été conçus sur un composé de caoutchouc hydrostatique. Ils sont équipés de divers capteurs, émetteurs, récepteurs, mais aussi des antennes WiFi et des cellules photovoltaïques pour produire de l'électricité.
« Nous sommes à un point clé du mariage entre l'électronique et la biologie », souligne Yonggang Huang, professeur d'ingénierie de la Northwestern University d'Evanston dans l'Illinois.
Cette technologie sera utilisée à terme pour le grand public, mais elle est réservée pour l'heure aux recherches sur le corps humain, ainsi que dans une optique militaire. En effet, le porteur ne se rendra pas compte qu'il porte un tel système. Aussi, son utilisation dans le domaine de l'espionnage est envisagé.
Source : Science Mag
Le samedi 20 août 2011 à 00:10 par Fabien H.
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