4 juin 2012Par Marie Gaussel
Longtemps, « enseigner » n’a pas été synonyme de « faire la classe ». Les élèves sont désormais habitués à passer leurs journées entre quatre murs, mais lesquels ?
Devenu bâtiment spécifique, l’édifice scolaire a revêtu une fonction politique, sociale et pédagogique. Si la pierre semble défier le temps, la massification scolaire, le renouvellement de la pédagogie, les TICE – ainsi que la décentralisation en France - font changer l’école et donc l’espace scolaire.
Ce dossier du service Veille et Analyses n° 75 de mai 2012, proposé par Marie Musset, s’intéresse aux interrogations les plus récentes – et partagées par la plupart des pays- concernant l’architecture scolaire et sa mutation en « espace d’apprentissage » associant une réflexion sur l’espace à l’intégration pédagogique des ressources électroniques et à la prise en compte de la vision holistique de l’apprentissage.
Il faut dans ce cadre souligner l’intérêt de rechercher un langage commun entre usagers (élèves, enseignants, personnel éducatif, parents) architectes et maîtres d’ouvrage. En effet l’urbanisme ni l’architecture ne sont être au centre de la réflexion : ce qui est premier pour les éducateurs et les décideurs, c’est l’élève et sa réussite.
http://eduveille.hypotheses.org/4500
Longtemps, « enseigner » n’a pas été synonyme de « faire la classe ». Les élèves sont désormais habitués à passer leurs journées entre quatre murs, mais lesquels ?
Devenu bâtiment spécifique, l’édifice scolaire a revêtu une fonction politique, sociale et pédagogique. Si la pierre semble défier le temps, la massification scolaire, le renouvellement de la pédagogie, les TICE – ainsi que la décentralisation en France - font changer l’école et donc l’espace scolaire.
Ce dossier du service Veille et Analyses n° 75 de mai 2012, proposé par Marie Musset, s’intéresse aux interrogations les plus récentes – et partagées par la plupart des pays- concernant l’architecture scolaire et sa mutation en « espace d’apprentissage » associant une réflexion sur l’espace à l’intégration pédagogique des ressources électroniques et à la prise en compte de la vision holistique de l’apprentissage.
Il faut dans ce cadre souligner l’intérêt de rechercher un langage commun entre usagers (élèves, enseignants, personnel éducatif, parents) architectes et maîtres d’ouvrage. En effet l’urbanisme ni l’architecture ne sont être au centre de la réflexion : ce qui est premier pour les éducateurs et les décideurs, c’est l’élève et sa réussite.
http://eduveille.hypotheses.org/4500
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