La loi sur l’enseignement supérieur et la recherche prévoit des dispositions visant à mieux encadrer les stages en milieu professionnel.
Après la loi Cherpion, qui limitait la durée des stages à six mois, c’est au tour de la loi sur l’enseignement supérieur et la recherche, définitivement adoptée et attente de publication, de prévoir des dispositions visant à mieux encadrer ces périodes en entreprise.
En premier lieu, le texte donne une définition précise du stage : « (il) correspond à une période temporaire de mise en situation en milieu professionnel au cours de laquelle l’étudiant acquiert des compétences professionnelles qui mettent en œuvre les acquis de sa formation en vue de l’obtention d’un diplôme ou d’une certification. (…). »
Et de préciser également que « les stages ne peuvent avoir pour objet l’exécution d’un tâche régulière correspondant à un poste de travail permanent de l’entreprise (…) ou de tout organisme d’accueil ».
Une façon de rappeler que les stagiaires ne sont là pour occuper des postes laissés vacants.
En outre, la loi rappelle que les stages en milieu professionnel – en dehors de l’apprentissage et de la formation professionnelle tout au long de la vie – doivent faire l’objet d’une convention tripartite entre le stagiaire, l’organisme d’accueil et l’établissement d’enseignement.
Les modalités de cette convention seront précisées par décret.
Nouveauté : les stagiaires sont invités, à la fin de leur stage, à transmettre, au service de leur établissement chargé de les suivre de leur projet professionnel, une appréciation sur l’accueil dont il a bénéficié au sein de l’entreprise.
Emmanuelle N’Haux | Source LE MONITEUR.FR
Après la loi Cherpion, qui limitait la durée des stages à six mois, c’est au tour de la loi sur l’enseignement supérieur et la recherche, définitivement adoptée et attente de publication, de prévoir des dispositions visant à mieux encadrer ces périodes en entreprise.
En premier lieu, le texte donne une définition précise du stage : « (il) correspond à une période temporaire de mise en situation en milieu professionnel au cours de laquelle l’étudiant acquiert des compétences professionnelles qui mettent en œuvre les acquis de sa formation en vue de l’obtention d’un diplôme ou d’une certification. (…). »
Et de préciser également que « les stages ne peuvent avoir pour objet l’exécution d’un tâche régulière correspondant à un poste de travail permanent de l’entreprise (…) ou de tout organisme d’accueil ».
Une façon de rappeler que les stagiaires ne sont là pour occuper des postes laissés vacants.
En outre, la loi rappelle que les stages en milieu professionnel – en dehors de l’apprentissage et de la formation professionnelle tout au long de la vie – doivent faire l’objet d’une convention tripartite entre le stagiaire, l’organisme d’accueil et l’établissement d’enseignement.
Les modalités de cette convention seront précisées par décret.
Nouveauté : les stagiaires sont invités, à la fin de leur stage, à transmettre, au service de leur établissement chargé de les suivre de leur projet professionnel, une appréciation sur l’accueil dont il a bénéficié au sein de l’entreprise.
Emmanuelle N’Haux | Source LE MONITEUR.FR
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