La récente fuite sur internet d’un des sujets du bac S ou le cas de ce lycéen dont le téléphone caché dans ses chaussettes a sonné durant l’épreuve, ont relancé la (vaste) question de la sécurité des examens.
Valérie Pecresse, sur Radio J, a expliqué qu’ « aujourd'hui, avec internet, on a le risque de voir se propager les fraudes dans le grand public donc il va falloir qu'on réfléchisse ». La ministre de l’enseignement supérieur ajoute « nous réfléchissons à des mesures concrètes, peut-être l'interdiction des smartphones dans les salles d'examen. »
Dans une circulaire adressée aux centres d’examen, le ministère de l’éducation indiquait déjà le 3 mai 2011 que « les téléphones portables et appareils permettant l'écoute de fichiers audio doivent être impérativement éteints. Ils sont soit rangés dans le sac du candidat soit remis aux surveillants de salle. Les candidats ne doivent avoir aucune communication entre eux ou avec l'extérieur durant l'épreuve. Aussi, l'utilisation des téléphones portables et, plus largement, de tout appareil permettant des échanges ou la consultation d'informations, est interdite et est susceptible de poursuites par l'autorité académique pour tentative de fraude. L'autorisation d'utiliser ou non une calculatrice est expressément précisée en tête des sujets. »
Valérie Pecresse, sur Radio J, a expliqué qu’ « aujourd'hui, avec internet, on a le risque de voir se propager les fraudes dans le grand public donc il va falloir qu'on réfléchisse ». La ministre de l’enseignement supérieur ajoute « nous réfléchissons à des mesures concrètes, peut-être l'interdiction des smartphones dans les salles d'examen. »
Dans une circulaire adressée aux centres d’examen, le ministère de l’éducation indiquait déjà le 3 mai 2011 que « les téléphones portables et appareils permettant l'écoute de fichiers audio doivent être impérativement éteints. Ils sont soit rangés dans le sac du candidat soit remis aux surveillants de salle. Les candidats ne doivent avoir aucune communication entre eux ou avec l'extérieur durant l'épreuve. Aussi, l'utilisation des téléphones portables et, plus largement, de tout appareil permettant des échanges ou la consultation d'informations, est interdite et est susceptible de poursuites par l'autorité académique pour tentative de fraude. L'autorisation d'utiliser ou non une calculatrice est expressément précisée en tête des sujets. »
La circulaire prescrit donc l’extinction des téléphones et interdit leur utilisation. Le texte promis par Pecresse viendrait ainsi muscler cette interdiction, peut être en prohibant la simple possession de smartphones dans les salles, ou en attachant des sanctions plus précises. À moins qu’il ne s‘agisse que de généraliser l’encadrement de cette circulaire.
Rédigée par Marc Rees le lundi 27 juin 2011 à 10h11
pcinpact.com
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