Avec la crise économique et le chômage de masse qui en découle, s’est développée une évidence : si vous voulez un boulot, il va falloir le créer vous-même. La preuve en images.
Loin d’être une espèce rare, les entrepreneurs vont devenir la norme dans le monde du travail. Terminé le salariat ou, plus exactement, terminé le travailleur passif assis sur son fauteuil en attendant que ça se passe.
En effet, d’après la startup Funders and Founders basée à San Francisco, les consultants et les travailleurs en free-lance coûtent 30% moins cher qu’un salarié. Eh oui, plus besoin de payer une sécurité sociale, de manager un collaborateur, de superviser un junior. Soit, il convient à la tâche demandée, soit on le remplace. Ça fait gagner du temps.
Consultants ou intrapreneurs ?
Pourquoi également s’embêter à demander à une agence web nationale de faire son site, alors que des développeurs Russes, Chinois ou Indiens facturent 3 à 8 fois moins chers que des professionnels Américains. Sans parler des robots qui vont bientôt venir concurrencer les humains sur tous les travaux manuels. Autant dire qu’il va falloir monter en compétences, si vous comptez gagner votre vie correctement.
D’ailleurs, même les salariés sont priés de devenir des entrepreneurs comme les autres. En clair de, non seulement réaliser les missions habituelles demandées par sa hiérarchie, mais également de réfléchir à de nouvelles organisations et pratiques au sein de l’entreprise. Une créativité qui, à terme, va devenir le moyen le plus sûr pour garder son travail.
Sur ce point, les entrepreneurs « classiques » jouent en terrain connus. Mais pour les autres, habitués à la vie plus calme du salariat ? Voilà la grande question de ces prochaines années.
Loin d’être une espèce rare, les entrepreneurs vont devenir la norme dans le monde du travail. Terminé le salariat ou, plus exactement, terminé le travailleur passif assis sur son fauteuil en attendant que ça se passe.
En effet, d’après la startup Funders and Founders basée à San Francisco, les consultants et les travailleurs en free-lance coûtent 30% moins cher qu’un salarié. Eh oui, plus besoin de payer une sécurité sociale, de manager un collaborateur, de superviser un junior. Soit, il convient à la tâche demandée, soit on le remplace. Ça fait gagner du temps.
Consultants ou intrapreneurs ?
Pourquoi également s’embêter à demander à une agence web nationale de faire son site, alors que des développeurs Russes, Chinois ou Indiens facturent 3 à 8 fois moins chers que des professionnels Américains. Sans parler des robots qui vont bientôt venir concurrencer les humains sur tous les travaux manuels. Autant dire qu’il va falloir monter en compétences, si vous comptez gagner votre vie correctement.
D’ailleurs, même les salariés sont priés de devenir des entrepreneurs comme les autres. En clair de, non seulement réaliser les missions habituelles demandées par sa hiérarchie, mais également de réfléchir à de nouvelles organisations et pratiques au sein de l’entreprise. Une créativité qui, à terme, va devenir le moyen le plus sûr pour garder son travail.
Sur ce point, les entrepreneurs « classiques » jouent en terrain connus. Mais pour les autres, habitués à la vie plus calme du salariat ? Voilà la grande question de ces prochaines années.
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