Le 16 juin 2011 par Audrey Bardon
Pourquoi s’arrêter en – six – bon chemin, quand le succès est au rendez-vous ? Le Grand Mix organise le 6e apéro Sciences & Web au Polly Maggoo ce jeudi 16 juin. Rencontres, bonne humeur et échanges féconds : pas de changement de ce côté-là, mais une nouvelle thématique qui ravira les amateurs de sciences 2.0 : les réseaux scientifiques.
L’occasion de présenter un petit top 20 de ces réseaux de passionnés. Il ne sera pas question ici de réaliser un classement ni d’être exhaustif, mais simplement de présenter des communautés surprenantes et impliquées, réunies autour de la culture scientifique, de la recherche et de l’innovation. ...
Avec plus d’un million de membres, ResearchGate est aujourd’hui le réseau scientifique mondial de référence. Recherche sémantique à travers une immense base de données bibliographiques, bourse d’emplois ou conférences virtuelles sont autant d’outils qui font son succès.
Membres : 1 200 000 ; Langue : anglais
Twitter : @ResearchGate ; Facebook : ResearchGate
« En avez-vous assez de lire des communiqués de presse sur l’actualité de la recherche ? » lance ResearchBlogging. Cette communauté de blogueurs traite exclusivement de travaux de recherche publiés dans les revues académiques.
Membres : 1900 ; Langues : anglais, portugais, espagnol, chinois, allemand, polonais, italien
Twitter : @ResearchBlogs ; Facebook : ResearchBlogging
Sciencefeed permet de poster de courts messages et de publier ses flux Twitter et Facebook. Les amateurs de ces deux réseaux s’y retrouveront facilement : hashtags pour des live-blogging scientifiques effrénés et petite icône « pouce » pour apprécier une publication.
Membres : non communiqué ; Langue : anglais
Pas de compte Twitter ni Facebook
Ce site collaboratif permet de partager des schémas retraçant l’ensemble des étapes d’une expérimentation (workflows).
Membres : 3700 ; Langue : anglais
Pas de compte Twitter ni Facebook
Un petit bonhomme moléculaire débordant d’énergie : parfaite mascotte pour cette communauté européenne réunie pour discuter d’enseignement scientifique. À sa disposition : chat, service de partage de ressources ou encore un calendrier des évènements à ne pas manquer.
Membres : 820 ; Langues : anglais, espagnol, français, allemand, polonais, italien
Twitter : @Scientix_eu ; Pas de compte Facebook
Développée par le Cléo, Hypotheses.org est une plateforme de publication de carnets de recherche en sciences humaines et sociales. Les chercheurs disposent ainsi d’une solution souple pour rendre compte de l’avancement de leur recherche, tout en interagissant avec l’ensemble de la communauté.
Membres : 210 ; Langue : français
Twitter : @hypothesesorg ; Facebook : Hypotheses.org
Dans cette « université des sciences en ligne », chaque membre peut référencer et consulter des ressources pédagogiques, échanger sur des blogs et forums, et dialoguer avec Sam, le guide virtuel à la mèche rousse. Unisciel fournit également un moteur de recherche qui s’intègre au navigateur. (voir notre article)
Membres : 707 ; Langue : français
Twitter : @Unisciel ; Facebook : Sam Unisciel
Envie de présenter vos résultats de recherche de manière originale ? SciVee permet de poster des vidéos et podcasts scientifiques, et de les synchroniser avec des documents textes.
Membres : non communiqué ; Langue : anglais
Pas de compte Twitter ni Facebook
Lancé par un petit groupe de blogueurs scientifiques francophones, le C@fé compte maintenant plus de 30 blogs dont les billets sont agrégés sur une même plateforme. Au menu : culture scientifique, recherche, controverses et débats. (voir notre article)
Membres : 31 blogueurs ; Langue : français
Twitter : @cafe_sciences ; Facebook : C@fé des sciences
Comme son nom l’indique, ce site collaboratif est consacré au domaine de l’éthique. Il intéressera les chercheurs qui travaillent sur ce sujet, tout autant que les personnes qui s’interrogent sur des questions éthiques.
Membres : 1500 ; Langue : anglais
Twitter : @EthicShare ; Facebook : EthicShare
Cet espace numérique créé par François Taddei permet aux étudiants et chercheurs d’échanger autour des sciences, de la recherche et de l’éducation, et de les réinventer ensemble. Une manière de concevoir l’université autrement en utilisant l’intelligence collective.
Membres : non communiqué ; Langue : anglais
Twitter : @wiseru ; Facebook : Wiser Summer
Spécialisé dans la recherche biomédicale, ce réseau social a pour particularité de créer des profils pré-remplis à partir de données bibliographiques. Chaque profil est associé à son réseau de coauteurs.
Membres : 365 000 ; Langue : anglais
Pas de compte Twitter ; Facebook : BiomedExperts
Ce réseau social international qui réunit des chercheurs en sciences sociales se compose de sous-réseaux, un pour chaque discipline. Les membres peuvent y poster des publications, discuter ou être informés des offres d’emploi et manifestations.
Membres : 400 000 ; Langue : anglais
Twitter : @SSRN ; Facebook : SSRN
Sinapse – Scientific INformAtion for Policy Support in Europe – encourage l’échange d’informations entre la communauté scientifique et les décideurs politiques à l’échelle européenne. Chacun dispose d’une bibliothèque de conseils scientifiques, d’outils de sondages et de groupes de discussions sécurisés.
Membres : 16 000 ; Langue : anglais
Pas de compte Twitter ni Facebook
« Viva la evolution » : la phrase est lancée. Science 3.0 est conçu pour tous ceux qui souhaitent discuter de science et des outils web 2.0. Qu’y trouve-t-on ? Des espaces de travail collaboratif, un wiki, un outil pour partager les résultats de recherche non concluants, des blogs et un concours mensuel de billets.
Membres : 523 ; Langue : anglais
Twitter : @science3point0 ; Facebook : Science3point0
Academia.edu, c’est un peu le Facebook des chercheurs, comme il fut à ses débuts : un réseau social ouvert aux universitaires. L’interface de navigation à travers les profils prend la forme d’un arbre dont chaque ramification correspond à une université.
Membres : 380 000 ; Langue : anglais
Twitter : @academia_edu ; Facebook : Academia.edu
Ouverts aux étudiants, enseignants-chercheurs et au personnel de l’université, le réseau social de l’université Paris-Descartes constitue à la fois un espace d’expression et d’échanges, un outil pédagogique et une vitrine des compétences des membres de l’université. (voir notre article)
Membres : 10 500 ; Langue : français
Twitter : @Carnets2 ; Facebook : Carnets Paris Descartes
Échange de bons conseils et discussion autour de la didactique des sciences pour ce réseau consacré à un public exigeant et sincère : les enfants d’écoles primaires. Ce portail en ligne met à disposition un forum, des blogs, un chat ou encore des modules de formation.
Membres : 800 ; Langue : français
Pas de compte Twitter ni Facebook
La célèbre revue Nature s’est également mise aux réseaux sociaux : Nature Network propose à ses membres de discuter sur des forums, d’ouvrir un blog et de participer à un service de Question/Réponse. Petit plus : un espace personnel où l’on peut ajouter des applications à la manière d’un smartphone.
Membres : 25 000 ; Langue : anglais
Twitter : @NatNetNews Pas de compte Facebook
Gestion et partage sont les maitres mots de Mendeley. Il allie réseau social et gestionnaire de références bibliographiques, le tout synchronisé à la fois sur son ordinateur et sur le web. Autres fonctions très utiles : la possibilité de générer une bibliographie toute faite ou pouvoir annoter des publications.
Membres : 1 001 000 ; Langue : anglais
Twitter : @mendeley_com ; Facebook : Mendeley
Et bienvenue aux petits nouveaux (made in France) à qui l’on prédit de jolis succès :
- Chimie 2.0 : un espace d’échanges entre les scientifiques et le public, lancé par le CNRS
- MyScienceWork : le réseau social de la recherche scientifique multidisciplinaire (lancement sous peu)
Des commentaires faits sur l'article, on peut rajouter :
Zotero et http://www.peerevaluation.org
https://spreadsheets.google.com/spreadsheet/pub?hl=en_US&hl=en_US&key=0AlIkrTxJmBejcEVFZTd4S2FsQWhZZGY1NkRXUmZjUWc&single=true&gid=0&output=html
https://spreadsheets.google.com/spreadsheet/pub?hl=en_US&hl=en_US&key=0Ak1R8T6wt4YQcGx3d3VmcDMwaGZxd0dwMF9FM2lLTlE&output=html
https://spreadsheets.google.com/spreadsheet/pub?hl=en_US&hl=en_US&key=0AmsJu7t1dw3PdEMxbU1iTEp1VE1KZmtTX1N2UVNxdkE&output=html
Plume! (http://www.plume.info/)
Science! on blogue
http://www.thepilots.eu/ pour la médiation scientifique
http://www.santelog.com qui est un MEDIA 2.0 et aussi un réseau de + 21 000 Professionnels de Santé francophones
Google Scholar : http://scholar.google.com
1. Publish or Perish (http://www.harzing.com/pop.htm) qui permet, d’une part, de mesurer l’impact de publications et, d’autre part, de connaître les auteurs (ou les publications) les plus cités dans un domaine donné.
2. Scival (http://www.scival.com/) qui permet notamment de planifier et d’évaluer des projets de recherche.
3. Dropbox (http://www.dropbox.com) qui permet, notamment avec l’utilitaire Dropin, de partager différents dossiers dans le cadre de projets de recherche.
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