rached-innov: Les 100 vérités sur l'entrepreneuriat social

vendredi 17 juin 2011

Les 100 vérités sur l'entrepreneuriat social

Plein de vrais vérités, un brin d'humour et d'auto-critique : Lors d'un « pop-up social entreprise think tank », Nick Temple a rédigé une liste de « 100 social entreprise truths ».

Voici la version traduite (avec l'accord de son auteur) et quelque peu adapté aux conditions locales.

Mesurer l'impact social, c'est améliorer ce que l'on fait, et non pas seulement prouver que ça marche.
C'est seulement une fois que l'on a clarifié la mission, les activités, le financement et la gouvernance qu'il faut choisir un statut légal.
Ce qui compte, ce n'est pas la taille du bénéfice, mais que l'on fait avec.
Bénéfice-et-plus est mieux que sans-but-lucratif (« bénéfice » n’est pas un vilain mot).
De bons entrepreneuses et entrepreneurs sociaux construisent une authentique relation de confiance.
Les entrepreneurs sociaux ne sont pas des héros individuels ; ils construisent des équipes, développent des réseaux et initient des mouvements.
Les entrepreneuses et entrepreneurs sociaux peuvent travailler au niveau d'une communauté, au niveau national, ou au niveau international.
Si à chaque fois qu'un entrepreneur social cite Gandhi, un franc serait donné, plus personne n'aurait besoin de faire de la recherche de fonds.
Si l'on apprend à pêcher à trop de personnes, on perturbe tout l'écosystème marin et on épuise les stocks de poissons.
Augmenter l'impact est plus important qu'augmenter la taille de l'organisation (ou la taille de l'ego).
Une structure juridique particulière ne garantit pas qu’une organisation ne soit pas absurde (ou qu'elle soit brillante).
...