Source: Looney Tunes
C'est la loi de la gravité: tout ce qui monte finit un jour par redescendre. Facebook n'échappe d'ailleurs pas à la règle. Selon une analyse interne, l'épidémique réseau social vient en effet de perdre pour la première fois des millions d'usagers aux États-Unis et au Canada. Un mouvement de désaffection qui ne fait peut-être que commencer...
C'est le site Inside Facebook qui le dit. Entre début et fin mai dernier, Facebook a dû composer avec une perte de 6 millions d'abonnés-consommateurs sur le seul marché américain, peut-on lire. Au Canada, où 18 millions de personnes se sont données une existence numérique sur ce réseau, les pertes ont été moins importantes, avec 1,5 million d'abonnés qui ont décidé de fermer définitivement leur compte le mois dernier. Plus de 100 000 usagers ont fait la même chose en Grande-Bretagne, Norvège et en Russie.
Ce recul est l'un des plus importants auquel la multinationale américaine est confrontée depuis son apparition dans les univers numériques de communication en 2004. Il touche principalement les vieux marchés où Facebook s'est implanté et où plus de 50 % de la population a succombé à l'appel de la socialisation en ligne, souligne le blogue qui attribue en partie à des facteurs saisonniers cette disparition de plusieurs millions d'usagers tout comme des informations personnelles convoitées qui venaient avec. Les atteintes potentielles au respect de la vie privée, une certaine prise de conscience des effets pervers de cette mise en numérique des rapports humains, mais aussi la fin des classes, période pendant laquelle plusieurs étudiants décideraient de s'éloigner du réseau pour la période estivale, pourraient aussi être responsable de la décroissance.
À l'échelle mondiale, Facebook continue toutefois sa croissance en s'approchant désormais du chiffre obèse des 700 millions d'usagers, et ce, avec l'aide de plusieurs marchés émergents comme le Mexique, l'Inde, le Brésil, l'Indonésie ou encore l'Argentine, note Inside Facebook. Toutefois, pour la deuxième fois de suite, la croissance globale du réseau social, soit plus de 1,7%, est beaucoup plus bas «que la normale», précisent les fins observateurs de la chose numérique.
C'est le site Inside Facebook qui le dit. Entre début et fin mai dernier, Facebook a dû composer avec une perte de 6 millions d'abonnés-consommateurs sur le seul marché américain, peut-on lire. Au Canada, où 18 millions de personnes se sont données une existence numérique sur ce réseau, les pertes ont été moins importantes, avec 1,5 million d'abonnés qui ont décidé de fermer définitivement leur compte le mois dernier. Plus de 100 000 usagers ont fait la même chose en Grande-Bretagne, Norvège et en Russie.
Ce recul est l'un des plus importants auquel la multinationale américaine est confrontée depuis son apparition dans les univers numériques de communication en 2004. Il touche principalement les vieux marchés où Facebook s'est implanté et où plus de 50 % de la population a succombé à l'appel de la socialisation en ligne, souligne le blogue qui attribue en partie à des facteurs saisonniers cette disparition de plusieurs millions d'usagers tout comme des informations personnelles convoitées qui venaient avec. Les atteintes potentielles au respect de la vie privée, une certaine prise de conscience des effets pervers de cette mise en numérique des rapports humains, mais aussi la fin des classes, période pendant laquelle plusieurs étudiants décideraient de s'éloigner du réseau pour la période estivale, pourraient aussi être responsable de la décroissance.
À l'échelle mondiale, Facebook continue toutefois sa croissance en s'approchant désormais du chiffre obèse des 700 millions d'usagers, et ce, avec l'aide de plusieurs marchés émergents comme le Mexique, l'Inde, le Brésil, l'Indonésie ou encore l'Argentine, note Inside Facebook. Toutefois, pour la deuxième fois de suite, la croissance globale du réseau social, soit plus de 1,7%, est beaucoup plus bas «que la normale», précisent les fins observateurs de la chose numérique.
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