Alors que les robots humanoïdes se font de plus en plus nombreux, la tendance est à rendre ces machines les plus proches de l’homme.
Si les chercheurs jouent à Dieu tentant de créer une réplique robotique à leur image, quelques sens fondamentaux ont déjà été reproduits, et maintenant, c’est le toucher qui devrait être offert à ces petits êtres de métal et de puces électroniques.
Les plaques hexagonales présentes sur la photo ne sont pas souples ni élastiques, n’ont pas pour vocation de protéger le robot des éléments, mais sont censées apporter le sens du toucher à celui-ci.
Cette peau robotique permettra aussi de repérer des variations de température, de pression, de contraintes, de vibrations, mais également de se repérer dans l’espace à l’aide d’un accéléromètre.
Les robots équipés de ces capteurs en nombre suffisant pourraient donc avoir une meilleure perception d’eux même et leur permettre d’enregistrer précisément quelles parties de leur constitution subissent une contrainte ou une pression.
Jusqu’ici, les chercheurs ont réussi à connecter jusqu’à 31 capteurs, mais leur ambition ne s’arrête pas là puisque l’objectif et de permettre de proposer de véritables peaux robotiques, l’augmentation du nombre de capteurs allant de pair avec la précision des données collectées et donc des applications possibles. [Gizmag]
Si les chercheurs jouent à Dieu tentant de créer une réplique robotique à leur image, quelques sens fondamentaux ont déjà été reproduits, et maintenant, c’est le toucher qui devrait être offert à ces petits êtres de métal et de puces électroniques.
Les plaques hexagonales présentes sur la photo ne sont pas souples ni élastiques, n’ont pas pour vocation de protéger le robot des éléments, mais sont censées apporter le sens du toucher à celui-ci.
Cette peau robotique permettra aussi de repérer des variations de température, de pression, de contraintes, de vibrations, mais également de se repérer dans l’espace à l’aide d’un accéléromètre.
Les robots équipés de ces capteurs en nombre suffisant pourraient donc avoir une meilleure perception d’eux même et leur permettre d’enregistrer précisément quelles parties de leur constitution subissent une contrainte ou une pression.
Jusqu’ici, les chercheurs ont réussi à connecter jusqu’à 31 capteurs, mais leur ambition ne s’arrête pas là puisque l’objectif et de permettre de proposer de véritables peaux robotiques, l’augmentation du nombre de capteurs allant de pair avec la précision des données collectées et donc des applications possibles. [Gizmag]
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