L'été dernier, nous avons assisté à la fin d'une ère pour les navettes spatiales américaines. Bien que cette nouvelle en ai inquiété plus d'un sur l'avenir de la conquête de l'espace, voici une information qui leur remettra la tête dans les étoiles.
La découverte a eu lieu lors d’un congrès d’astronomie à l’université de Manchester en Angleterre. Werner Becker et son équipe ont découvert qu’il était possible de se repérer dans l’espace grâce aux pulsars (rayonnements électromagnétiques émis par des étoiles à neutrons mais aussi appelés trou noir ou naine blanche selon la taille, tournant très rapidement).
Le GPS étant inutilisable dans l’espace puisqu’il utilise la Terre comme référent, il fallait donc un autre signal mais qui soit émis au-delà de notre planète. C’est là que les pulsars rentrent en jeu en permettant une précision de l’ordre de quelques kilomètres mais surtout n’importe où dans l'univers.
Bien que la marge de manœuvre concernant les voyages dans l’espace soit encore limitée, le gain en précision apporté par cet outil reste inestimable. On peut imaginer une simplification des calculs de navigation et donc une diminution d’erreurs rendant possible des objectifs jusqu’alors impensables. Et pourquoi pas, rêver un peu et se dire que la science-fiction n’est plus si « fiction ».
La découverte a eu lieu lors d’un congrès d’astronomie à l’université de Manchester en Angleterre. Werner Becker et son équipe ont découvert qu’il était possible de se repérer dans l’espace grâce aux pulsars (rayonnements électromagnétiques émis par des étoiles à neutrons mais aussi appelés trou noir ou naine blanche selon la taille, tournant très rapidement).
Le GPS étant inutilisable dans l’espace puisqu’il utilise la Terre comme référent, il fallait donc un autre signal mais qui soit émis au-delà de notre planète. C’est là que les pulsars rentrent en jeu en permettant une précision de l’ordre de quelques kilomètres mais surtout n’importe où dans l'univers.
Bien que la marge de manœuvre concernant les voyages dans l’espace soit encore limitée, le gain en précision apporté par cet outil reste inestimable. On peut imaginer une simplification des calculs de navigation et donc une diminution d’erreurs rendant possible des objectifs jusqu’alors impensables. Et pourquoi pas, rêver un peu et se dire que la science-fiction n’est plus si « fiction ».
Pierre Anzil
15 avril 2012 16:35
15 avril 2012 16:35
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