Le président Tunisien Moncef Marzouki, dans un entretien au journal panarabe Al-Hayat, a mis en garde son homologue syrien Bachar el-Assad, en le prévenant que "mort ou vivant, tu partiras". melty.fr vous en dit plus.
Malgré la présence des observateurs de l'ONU en Syrie, le régime de Damas continue sans sourciller à écraser la contestation dans le pays. Selon l'Observatoire Syrien des Droits de l'Homme, 59 personnes ont péri hier soir dans des violences, dont 31 civils, notamment dans la région de Hama. Lundi, les Etats-Unis se sont déclarés inquiets de la situation dans le pays, alors que 300 observateurs supplémentaires devraient se déployer dans les semaines qui suivent. La porte-parole du département d'Etat, Victoria Nulands, a ainsi déclaré : "Nous attendons à ce que les observateurs disposent d'une liberté de mouvement totale, d'un accès sans restriction aux Syriens et aux zones de Syrie qu'ils jugent importantes à surveiller". De son côté, le président provisoire de la Tunisie, Moncef Marzouki, a appelé Bachar-el Assad à quitter le pouvoir.
La Tunisie, d'où était partie la vague de contestation du Printemps Arabe, avait été le premier pays à organiser une conférence internationale des "Amis du peuple syrien", au mois de février 2012. Dans un entretien donné au journal panarabe Al-Hayat, le président tunisien Moncef Marzouki a ainsi estimé que le régime de Damas était "fini", tout en prévenant que "cet homme (Bachar el-Assad) n'est pas prêt à faire de concessions". Il s'est ainsi adressé directement au chef d'Etat syrien, en déclarant : " Tu partiras d'une manière ou d'une autre. Tu partiras mort ou tu partiras vivant, et c'est mieux pour toi et pour ta famille de partir vivants", en ajoutant : " Si tu as décidé de partir mort, cela veut dire que tu auras causé la mort de dizaines de milliers d'innocents. Assez d'effusion de sang !". Que pensez- vous des déclarations de Moncef Marzouki ?
Malgré la présence des observateurs de l'ONU en Syrie, le régime de Damas continue sans sourciller à écraser la contestation dans le pays. Selon l'Observatoire Syrien des Droits de l'Homme, 59 personnes ont péri hier soir dans des violences, dont 31 civils, notamment dans la région de Hama. Lundi, les Etats-Unis se sont déclarés inquiets de la situation dans le pays, alors que 300 observateurs supplémentaires devraient se déployer dans les semaines qui suivent. La porte-parole du département d'Etat, Victoria Nulands, a ainsi déclaré : "Nous attendons à ce que les observateurs disposent d'une liberté de mouvement totale, d'un accès sans restriction aux Syriens et aux zones de Syrie qu'ils jugent importantes à surveiller". De son côté, le président provisoire de la Tunisie, Moncef Marzouki, a appelé Bachar-el Assad à quitter le pouvoir.
La Tunisie, d'où était partie la vague de contestation du Printemps Arabe, avait été le premier pays à organiser une conférence internationale des "Amis du peuple syrien", au mois de février 2012. Dans un entretien donné au journal panarabe Al-Hayat, le président tunisien Moncef Marzouki a ainsi estimé que le régime de Damas était "fini", tout en prévenant que "cet homme (Bachar el-Assad) n'est pas prêt à faire de concessions". Il s'est ainsi adressé directement au chef d'Etat syrien, en déclarant : " Tu partiras d'une manière ou d'une autre. Tu partiras mort ou tu partiras vivant, et c'est mieux pour toi et pour ta famille de partir vivants", en ajoutant : " Si tu as décidé de partir mort, cela veut dire que tu auras causé la mort de dizaines de milliers d'innocents. Assez d'effusion de sang !". Que pensez- vous des déclarations de Moncef Marzouki ?
par (PIerreF) le 24/04/2012 16:49
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