Lancé en 1991, ERS-1 a été suivi quatre ans plus tard par ERS-2. Pendant 20 ans d'observations ininterrompues, ces deux satellites ont ouvert la voie au développement de nombreuses techniques nouvelles d'observation de la Terre (La Terre, foyer de l'humanité, est surnommée la planète bleue. C'est la troisième planète du système solaire en partant du Soleil.).
L'ensemble instrumental embarqué était le même sur les deux satellites. Il comprenait notamment la première série de radars imageurs sur le long terme, un altimètre radar (Le radar est un système qui utilise les ondes radio pour détecter et déterminer la distance et/ou la vitesse d'objets tels que les avions, bateaux, ou encore la pluie. Un émetteur envoie...) chargé de suivre l'évolution du niveau de la mer (Le niveau de la mer est la hauteur moyenne de la surface de la mer, par rapport à un niveau de référence adéquat.), et d'autres puissants instruments dont le rôle était de mesurer la température (La température d'un système est une fonction croissante du degré d'agitation thermique des particules, c'est-à-dire de son énergie thermique. Elle est définit par l'équilibre de transfert de chaleur avec d'autres systèmes.) et les vents à la surface (Il existe de nombreuses acceptions au mot surface, parfois objet géométrique, parfois frontière physique, souvent abusivement confondu avec sa mesure - l'aire ou la superficie.) de la mer (Le terme de mer recouvre plusieurs réalités.).
ERS-2 avait également été équipé du premier instrument européen de haute précision pour la mesure de l'ozone de l'atmosphère, qui a joué un rôle déterminant dans l'étude de l'appauvrissement annuel de l'ozone au-dessus de l'Antarctique.
A l'origine, ERS-2 avait été lancé pour une mission de trois ans; en fait, il a largement dépassé sa durée de vie prévue puisqu'il a fourni de précieuses données d'observation de la Terre pendant 16 ans. Le 5 septembre 2011, on a finalement mis un terme à la mission du " vieux " satellite (Satellite peut faire référence à :). Les chercheurs qui se consacrent aux études sur la Terre et le changement climatique vont continuer à exploiter dans les années à venir les données collectées pendant vingt ans par les deux satellites ERS.
Ces missions ont également permis de développer des technologies d'imagerie radar et d'interférométrie qui sont utilisées sur des satellites actuellement en orbite et qui seront embarquées pour de futures missions.
L'ensemble instrumental embarqué était le même sur les deux satellites. Il comprenait notamment la première série de radars imageurs sur le long terme, un altimètre radar (Le radar est un système qui utilise les ondes radio pour détecter et déterminer la distance et/ou la vitesse d'objets tels que les avions, bateaux, ou encore la pluie. Un émetteur envoie...) chargé de suivre l'évolution du niveau de la mer (Le niveau de la mer est la hauteur moyenne de la surface de la mer, par rapport à un niveau de référence adéquat.), et d'autres puissants instruments dont le rôle était de mesurer la température (La température d'un système est une fonction croissante du degré d'agitation thermique des particules, c'est-à-dire de son énergie thermique. Elle est définit par l'équilibre de transfert de chaleur avec d'autres systèmes.) et les vents à la surface (Il existe de nombreuses acceptions au mot surface, parfois objet géométrique, parfois frontière physique, souvent abusivement confondu avec sa mesure - l'aire ou la superficie.) de la mer (Le terme de mer recouvre plusieurs réalités.).
ERS-2 avait également été équipé du premier instrument européen de haute précision pour la mesure de l'ozone de l'atmosphère, qui a joué un rôle déterminant dans l'étude de l'appauvrissement annuel de l'ozone au-dessus de l'Antarctique.
A l'origine, ERS-2 avait été lancé pour une mission de trois ans; en fait, il a largement dépassé sa durée de vie prévue puisqu'il a fourni de précieuses données d'observation de la Terre pendant 16 ans. Le 5 septembre 2011, on a finalement mis un terme à la mission du " vieux " satellite (Satellite peut faire référence à :). Les chercheurs qui se consacrent aux études sur la Terre et le changement climatique vont continuer à exploiter dans les années à venir les données collectées pendant vingt ans par les deux satellites ERS.
Ces missions ont également permis de développer des technologies d'imagerie radar et d'interférométrie qui sont utilisées sur des satellites actuellement en orbite et qui seront embarquées pour de futures missions.
Posté par Adrien le Lundi 10/10/2011 à 00:00
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