1. La demande pour le produit ou le service proposé est tout simplement insuffisante.
2.L’entrepreneur suit son chemin obstinément sans être à l’écoute de son environnement. Il fuit le risque et les oppositions.
3.L’entreprise croît à une vitesse vertigineuse et devient incontrôlable (c’est sans doute une des raisons les plus tristes d’aller à l’échec !).
4.Les chiffres n’existent pas ou ne correspondent pas à la réalité : la gestion des comptes est mauvaise.
5.L’entreprise n’a pas de coussin de trésorerie, le moindre événement (perte d’un client important, entrée d’un nouveau concurrent sur le marché, etc.) peut alors la mettre en péril.
6.Manque de régularité dans les affaires (pas de commandes continues sur des produits clés).
7.Les coûts de main d’œuvre, de location ou de matériel sont trop élevés.
8.La gestion de l’entreprise dysfonctionne : absence de vision stratégique, de planification ; mauvaises relations avec les partenaires.
9.L’entrepreneur n’a pas anticipé sa succession : bien des entreprises familiales ne survivent pas au départ de leur fondateur.
10.L’entreprise ne sait pas réagir aux modifications du marché et aux nouvelles attentes des consommateurs.
Source : NY Times du 5/01/2011
2.L’entrepreneur suit son chemin obstinément sans être à l’écoute de son environnement. Il fuit le risque et les oppositions.
3.L’entreprise croît à une vitesse vertigineuse et devient incontrôlable (c’est sans doute une des raisons les plus tristes d’aller à l’échec !).
4.Les chiffres n’existent pas ou ne correspondent pas à la réalité : la gestion des comptes est mauvaise.
5.L’entreprise n’a pas de coussin de trésorerie, le moindre événement (perte d’un client important, entrée d’un nouveau concurrent sur le marché, etc.) peut alors la mettre en péril.
6.Manque de régularité dans les affaires (pas de commandes continues sur des produits clés).
7.Les coûts de main d’œuvre, de location ou de matériel sont trop élevés.
8.La gestion de l’entreprise dysfonctionne : absence de vision stratégique, de planification ; mauvaises relations avec les partenaires.
9.L’entrepreneur n’a pas anticipé sa succession : bien des entreprises familiales ne survivent pas au départ de leur fondateur.
10.L’entreprise ne sait pas réagir aux modifications du marché et aux nouvelles attentes des consommateurs.
Source : NY Times du 5/01/2011
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