L'entrepreneuriat fait l'objet des mythes et d'illusions. Nous aborderons ici trois des idées reçues sur le monde de l'entrepreneur.
L'entrepreneuriat ne s'apprend pas
Plusieurs enquêtes comparatives montrent pourtant que l'enseignement supérieur peut (et doit!) relever le défi de l'entrepreneuriat, à condition de devenir lui-même entrepreneurial.
La suprématie du plan d'affaire
La suprématie du plan d'affaire
Outre le fait qu'il constitue un document de communication, le plan d'affaires permet d'intégrer des analyses de réflexions dans un raisonnement stratégique et dans la formualtion d'une stratégie.
Avec un plan d'affaires, l'entrepreneur a sa feuille de route, ses objectifs, les moyens pour les atteindre et le srpévisions sur trois ans. Les entrepreneurs ne semblent pourtant pas toujours enclin à utiliser cet outil miraculeux.
L'entrepreneur n'a pas de seconde chance
Avec un plan d'affaires, l'entrepreneur a sa feuille de route, ses objectifs, les moyens pour les atteindre et le srpévisions sur trois ans. Les entrepreneurs ne semblent pourtant pas toujours enclin à utiliser cet outil miraculeux.
L'entrepreneur n'a pas de seconde chance
L'entrepreneur est souvent perçu comme un individu extraordinaire et héroïque, qui relève des défis insensés et qui, par conséquent, ne peut pas éhcouer.
Dans ces conditions, on ne peut pas imaginer qu'un entrepreneur puisse avoir une seconde chance et repartir dans une autre création d'entreprise. "L'entrepreneuriat de la seconde chancd", concept inconcevable en France ou en Belgique ne pose en revanche aucun problème aux Etats-Unis.
Celui qui a échoué, s'il n'est pas considéré comme un incompétent ou un fraudeur, peut tirer les enseignements d'un échec pour relancer une activité qui pourra bénéficier des apprentissages réalisés dans une première expérience difficile.
Dans ces conditions, on ne peut pas imaginer qu'un entrepreneur puisse avoir une seconde chance et repartir dans une autre création d'entreprise. "L'entrepreneuriat de la seconde chancd", concept inconcevable en France ou en Belgique ne pose en revanche aucun problème aux Etats-Unis.
Celui qui a échoué, s'il n'est pas considéré comme un incompétent ou un fraudeur, peut tirer les enseignements d'un échec pour relancer une activité qui pourra bénéficier des apprentissages réalisés dans une première expérience difficile.
Rédigé par EMLYON Business School le 27/05/2011 à 12:23
Commentaire : Alain Fayolle (photo) vient de participer à deux séminaires importants sur l'entrepreneuriat, tenus du 26 au 28 2011 à Hammamet :
« L’Education entrepreneuriale et la création d’Entreprises »
Jeudi 26 / Mai 2011
Hôtel Alhambra – Yessemine Hammamet (Hammamet sud)
et
2ème Conférence Internationale
"Culture Entrepreneuriale et Création d'Entreprises à l’Université"
"Culture Entrepreneuriale et Création d'Entreprises à l’Université"
Entrepreneuriat, Innovation et Développement Régional
27 et 28 mai 2011
Hôtel Vincci Lella Baya – Hammamet, Tunisie
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