Les profils universitaires semblent séduire de plus en plus de recruteurs.
De plus en plus en phase avec le monde du travail, l'université semble remonter dans l'estime des recruteurs. Grâce notamment à la réforme LMD, sans oublier la création de licences et masters professionnels, les jeunes diplômés s'insèrent de mieux en mieux aujourd'hui sur le marché de l'emploi.
Selon l'Apec, le taux d'emploi de la promotion universitaire 2009 atteint 59 % en 2010.
Même s'il reste inférieur à celui des écoles d'ingénieurs (64 %) et de commerce (65 %), les diplômés du public paraissent enfin armés pour concurrencer leurs homologues du privé.
La multiplication des stages, devenus obligatoires, et le développement des filières en alternance ont largement contribué à cette progression.
Tout comme la création de bureaux d'aide à l'insertion professionnelle ... censés aider les étudiants à construire un projet professionnel.
...
Si l'origine du diplôme peut ainsi avoir un impact sur les chances de recrutement, certaines entreprises ne s'arrêtent pas à ce critère ... « Ce qui nous importe, c'est ce que la personne a dans la tête, ses aptitudes et sa capacité à convaincre », ... Qu'importe son cursus.
De plus en plus en phase avec le monde du travail, l'université semble remonter dans l'estime des recruteurs. Grâce notamment à la réforme LMD, sans oublier la création de licences et masters professionnels, les jeunes diplômés s'insèrent de mieux en mieux aujourd'hui sur le marché de l'emploi.
Selon l'Apec, le taux d'emploi de la promotion universitaire 2009 atteint 59 % en 2010.
Même s'il reste inférieur à celui des écoles d'ingénieurs (64 %) et de commerce (65 %), les diplômés du public paraissent enfin armés pour concurrencer leurs homologues du privé.
La multiplication des stages, devenus obligatoires, et le développement des filières en alternance ont largement contribué à cette progression.
Tout comme la création de bureaux d'aide à l'insertion professionnelle ... censés aider les étudiants à construire un projet professionnel.
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Si l'origine du diplôme peut ainsi avoir un impact sur les chances de recrutement, certaines entreprises ne s'arrêtent pas à ce critère ... « Ce qui nous importe, c'est ce que la personne a dans la tête, ses aptitudes et sa capacité à convaincre », ... Qu'importe son cursus.
Lauren Horky
20minutes.fr
19/05/2011
Commentaire : vous l'avez compris, il s'agit des facs françaises. Qu'en est-il de chez nous en Tunisie ? Pourquoi nous n'arrivons pas à obtenir des résultats similaires.
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