... Personne ne peut ignorer la réussite de l’économie israélienne à moins de n’avoir allumé la télévision ou de n’avoir pas parcouru un quotidien. En soixante-trois ans d’existence l’Etat juif a accompli des pas de géant et a dépassé son ancienne puissance tutélaire : la Grande-Bretagne. Pour autant les écarts sociaux continuent à se creuser et certains, s’ils ne contestent aucunement le miracle, affirment que de nombreux progrès restent à accomplir.
“Le miracle de l’économie israélienne n’est pas un mythe, c’est une réalité. Nous avons réussi principalement grâce aux Israéliens, grâce à tous les citoyens. De toute pièce nous avons pu créer une économie florissante basée sur les individus, c’est à dire sur l’idée et non sur la matière. Aujourd’hui l’économie mondiale est elle aussi basée sur les cerveaux, l’intelligence et les idées”, a affirmé M. Wilf, ...
“Souvenons-nous simplement de louanges formulées par le quotidien Les Echos en 2009. Tout d’abord il nous faut préciser que les Israéliens ont passé avec succès la crise et que le pays a su passer d’une économie agricole à une économie essentiellement basée sur le high-tech. En 2009, Les Echos félicitaient Israël pour l’excellente gestion budgétaire qui lui a permis de rester sur la voie de la croissance. Prenons l’exemple de l’Islande. Comme bien des pays, elle n’a pas mis un point d’orgue à respecter une stricte rigueur budgétaire”, a-t-il expliqué.
“La force de l’innovation en Israël s’est construite grâce à l’élasticité des entreprises. Lorsqu’elles ont constaté que le dollar baissait, elles se sont tournées vers l’Union Européenne. Aujourd’hui 50% des échanges commerciaux se font avec l’Europe.
En outre, on peut citer l’élasticité de la politique budgétaire. Israël est passé, dans les années 1990, d’une économie quasi-communiste à une économie libérale. Par ailleurs, l’immigration a joué un rôle extrêmement important, en particulier la vague d’immigration russe", a déclaré l’économiste.
M. Adda a quelque peu tempéré ces propos. “Pour moi il n’y a pas de miracle de l’économie israélienne. Un miracle du secteur du high-tech oui, mais pas de l’économie. Par exemple, la croissance du revenu des ménages a été divisée par deux ces dernières années. Il y a une tendance régulière certes, mais elle ne permet pas de rattraper l’écart avec d’autres pays comme les Etats-Unis ou les pays d’Europe. Au contraire cette régularité creuse l’écart. Les revenus des Israéliens et des Américains sont en effet toujours différents à l’heure actuelle”, a-t-il expliqué, amenant un sérieux refroidissement dans la salle après les propos tenus par les orateurs précédents.
“Il y a une économie à deux vitesses. Les facteurs de la réussite du secteur high-tech sont extrêmement simples. Tout d’abord l’investissement, ensuite le capital humain (l’éducation des années 1970 qui s’est dégradée depuis), ensuite l’aliyah russe et enfin le capital étranger. Le capital étranger passe principalement par les capitales-risques américaines. Par ailleurs, nous ne pouvons pas ne pas mentionner les investissements directs qui représentent 2% du PIB.
Les ingrédients du miracle sont bien connus. Mais une autre partie de la société stagne : les salaires n’ont pas augmenté depuis dix ans. L’économie israélienne est à deux vitesses, cette différence représente l’arrière-plan économique de la fracture sociale", a affirmé l’ancien professeur de Sciences Po Paris. ...
En matière d’éducation l’Etat juif peut se targuer d’avoir 75% de sa population ayant un cursus scolaire supérieur ou égal à 12 ans d’études. Autrement dit plus de la moitié des Israéliens détiennent un diplôme universitaire.
Oui nous avons ce que l’on appelle des “cerveaux” et nous sommes bons en innovation. Pourquoi ne pas utiliser nos capacités ? ...
Par Roxanne Tran Van
Publié le 29 mai 2011
ISRAELVALLEY. EXCLUSIF
Lire le texte complet en cliquant sur le titre.
“Le miracle de l’économie israélienne n’est pas un mythe, c’est une réalité. Nous avons réussi principalement grâce aux Israéliens, grâce à tous les citoyens. De toute pièce nous avons pu créer une économie florissante basée sur les individus, c’est à dire sur l’idée et non sur la matière. Aujourd’hui l’économie mondiale est elle aussi basée sur les cerveaux, l’intelligence et les idées”, a affirmé M. Wilf, ...
“Souvenons-nous simplement de louanges formulées par le quotidien Les Echos en 2009. Tout d’abord il nous faut préciser que les Israéliens ont passé avec succès la crise et que le pays a su passer d’une économie agricole à une économie essentiellement basée sur le high-tech. En 2009, Les Echos félicitaient Israël pour l’excellente gestion budgétaire qui lui a permis de rester sur la voie de la croissance. Prenons l’exemple de l’Islande. Comme bien des pays, elle n’a pas mis un point d’orgue à respecter une stricte rigueur budgétaire”, a-t-il expliqué.
“La force de l’innovation en Israël s’est construite grâce à l’élasticité des entreprises. Lorsqu’elles ont constaté que le dollar baissait, elles se sont tournées vers l’Union Européenne. Aujourd’hui 50% des échanges commerciaux se font avec l’Europe.
En outre, on peut citer l’élasticité de la politique budgétaire. Israël est passé, dans les années 1990, d’une économie quasi-communiste à une économie libérale. Par ailleurs, l’immigration a joué un rôle extrêmement important, en particulier la vague d’immigration russe", a déclaré l’économiste.
M. Adda a quelque peu tempéré ces propos. “Pour moi il n’y a pas de miracle de l’économie israélienne. Un miracle du secteur du high-tech oui, mais pas de l’économie. Par exemple, la croissance du revenu des ménages a été divisée par deux ces dernières années. Il y a une tendance régulière certes, mais elle ne permet pas de rattraper l’écart avec d’autres pays comme les Etats-Unis ou les pays d’Europe. Au contraire cette régularité creuse l’écart. Les revenus des Israéliens et des Américains sont en effet toujours différents à l’heure actuelle”, a-t-il expliqué, amenant un sérieux refroidissement dans la salle après les propos tenus par les orateurs précédents.
“Il y a une économie à deux vitesses. Les facteurs de la réussite du secteur high-tech sont extrêmement simples. Tout d’abord l’investissement, ensuite le capital humain (l’éducation des années 1970 qui s’est dégradée depuis), ensuite l’aliyah russe et enfin le capital étranger. Le capital étranger passe principalement par les capitales-risques américaines. Par ailleurs, nous ne pouvons pas ne pas mentionner les investissements directs qui représentent 2% du PIB.
Les ingrédients du miracle sont bien connus. Mais une autre partie de la société stagne : les salaires n’ont pas augmenté depuis dix ans. L’économie israélienne est à deux vitesses, cette différence représente l’arrière-plan économique de la fracture sociale", a affirmé l’ancien professeur de Sciences Po Paris. ...
En matière d’éducation l’Etat juif peut se targuer d’avoir 75% de sa population ayant un cursus scolaire supérieur ou égal à 12 ans d’études. Autrement dit plus de la moitié des Israéliens détiennent un diplôme universitaire.
Oui nous avons ce que l’on appelle des “cerveaux” et nous sommes bons en innovation. Pourquoi ne pas utiliser nos capacités ? ...
ISRAELVALLEY. EXCLUSIF
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