L'e-dépendance touche de plus en plus de personnes. Pour autant, elle n'est pas une fatalité. Il suffit d'un peu de volonté et de bons sens.
Il suffit de jeter un œil autour de soi pour s’en convaincre : beaucoup d’entre nous sont devenus accrocs, et même dépendants, aux nouvelles technologies de l’information. Combien de personnes passent en effet un temps fou à consulter leur smartphone au cas où elles n’auraient pas reçu un e-mail ou une notification sociale, avec comme excuse " je regardais juste l’heure " lorsqu’elles sont " prises la main dans le sac ". Et ce, quel que soit l’endroit : au bureau, devant la télévision, au petit déjeuner, au restaurant et même au lit avant de s’endormir ( ou pire encore, après le coït... ).
Alors qu’en 2006, 54 % des Français admettaient consacrer moins de temps à leurs proches depuis l’arrivée des nouvelles technologies, ils étaient 71 % l’année dernière, à en croire l’institut d’étude Ipsos. Ce sentiment de dépendance est tel qu’environ un tiers expriment aujourd’hui le souhait de couper la connexion, après un enthousiasme face à cet accès infini et continu à l’information. Il s’accompagne souvent d’une impression d’avoir du mal à nouer des liens sociaux dans la vie réelle ou encore à s’investir dans les études, pour ceux qui y sont encore.
Pourtant, les solutions ne manquent pas aujourd’hui. Cela va du papier-peint bloquant les communications réseau à poser dans les salles de cours afin d’éviter que les élèves ne soient tentés de consulter leurs messages et profils sociaux à l’interdiction chez le groupe Volkswagen d’envoyer des e-mails sur les boîtes des salariés à partir d’une certaine heure, en passant par les séjours organisés dans des zones du monde où les technologies de l’information sont marginales ou tout bonnement absentes. On peut citer aussi l’exemple d’une chaîne hôtelière à Dublin proposant de remettre son smartphone ou sa tablette à la réception en échange d’un kit pour planter un arbre et d’un jeu de société. On peut aussi évoquer la solution proposée par Anti-Social qui bloque, pour 15 dollars par mois, l’accès aux sites Internet tels que Facebook ou Twitter, connus pour être chronophages.
Mais pour éviter le burn-out numérique, il faut aussi avoir pris conscience de sa dépendance et faire preuve de volonté. Couper le smartphone, la tablette numérique et l’ordinateur à partir d’une certaine heure ( 22h00, par exemple ) et le week-end peut être un bon début. Tout comme désactiver les notifications des applications les plus actives pour éviter d’être sans arrêt " sollicité " par son smartphone ou encore savoir laisser son smartphone à la maison ou dans la voiture quand on va au cinéma ( ce qui évitera d’agacer les autres au passage ).
Pourtant, les solutions ne manquent pas aujourd’hui. Cela va du papier-peint bloquant les communications réseau à poser dans les salles de cours afin d’éviter que les élèves ne soient tentés de consulter leurs messages et profils sociaux à l’interdiction chez le groupe Volkswagen d’envoyer des e-mails sur les boîtes des salariés à partir d’une certaine heure, en passant par les séjours organisés dans des zones du monde où les technologies de l’information sont marginales ou tout bonnement absentes. On peut citer aussi l’exemple d’une chaîne hôtelière à Dublin proposant de remettre son smartphone ou sa tablette à la réception en échange d’un kit pour planter un arbre et d’un jeu de société. On peut aussi évoquer la solution proposée par Anti-Social qui bloque, pour 15 dollars par mois, l’accès aux sites Internet tels que Facebook ou Twitter, connus pour être chronophages.
Mais pour éviter le burn-out numérique, il faut aussi avoir pris conscience de sa dépendance et faire preuve de volonté. Couper le smartphone, la tablette numérique et l’ordinateur à partir d’une certaine heure ( 22h00, par exemple ) et le week-end peut être un bon début. Tout comme désactiver les notifications des applications les plus actives pour éviter d’être sans arrêt " sollicité " par son smartphone ou encore savoir laisser son smartphone à la maison ou dans la voiture quand on va au cinéma ( ce qui évitera d’agacer les autres au passage ).
Source : AFP
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