La NASA et la NOAA ( National Oceanic and Armospheric Administration) viennent de dévoiler une carte réalisée avec les données collectées par le satellite Suomi NPP ( National Polar Partneship).
Le globe présenté est constitué de l’assemblage des données captées par le module VIIRS du satellite entre avril 2012 et avril 2013 et se focalise sur la répartition et la concentration de la végétation sur les différents points du globe.
L’idée est d’identifier en quelle quantité l’énergie solaire est absorbée par les plantes présentes sur terre et quelle quantité du rayonnement est renvoyée vers l’espace.
Disponible dans une version en haute résolution interactive ici, la carte met en avant les zones luxuriantes ainsi que les zones stériles comme les déserts ou régions trop froides. Et pour se focaliser sur la végétation, le bleu des océans (qui représente 75 % du globe) a simplement été banni.
En utilisant l’imagerie infrarouge, la NOAA est capable de faire la différence entre la végétation, les roches et différents terrains de façon bien plus précise que n’importe quel autre satellite. Cela permet aux scientifiques de constater avec plus de précision l’évolution de la végétation sur le globe, mais également de réaliser des anticipations sur les modifications climatiques à venir et leur impact direct sur la Terre. On notera que la cartographie est tellement précise que l'on peut y voir Central Park comme un rectangle vert noyé au milieu du béton de New York.
Avec ce type d’outil, les scientifiques sont également capables de mieux comprendre le phénomène des saisons et d’en percevoir les bouleversements avec le temps. Les chercheurs estiment qu’en étudiant plus profondément les données proposées par le satellite, il serait plus facile de prévoir les sécheresses, les feux de forêt, ou même les pics épidémiques de la Malaria.
L’idée est d’identifier en quelle quantité l’énergie solaire est absorbée par les plantes présentes sur terre et quelle quantité du rayonnement est renvoyée vers l’espace.
Disponible dans une version en haute résolution interactive ici, la carte met en avant les zones luxuriantes ainsi que les zones stériles comme les déserts ou régions trop froides. Et pour se focaliser sur la végétation, le bleu des océans (qui représente 75 % du globe) a simplement été banni.
En utilisant l’imagerie infrarouge, la NOAA est capable de faire la différence entre la végétation, les roches et différents terrains de façon bien plus précise que n’importe quel autre satellite. Cela permet aux scientifiques de constater avec plus de précision l’évolution de la végétation sur le globe, mais également de réaliser des anticipations sur les modifications climatiques à venir et leur impact direct sur la Terre. On notera que la cartographie est tellement précise que l'on peut y voir Central Park comme un rectangle vert noyé au milieu du béton de New York.
Avec ce type d’outil, les scientifiques sont également capables de mieux comprendre le phénomène des saisons et d’en percevoir les bouleversements avec le temps. Les chercheurs estiment qu’en étudiant plus profondément les données proposées par le satellite, il serait plus facile de prévoir les sécheresses, les feux de forêt, ou même les pics épidémiques de la Malaria.
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