" Si on observe, de façon générale, des tendances positives dans la plupart des indicateurs relatifs à la politique d'innovation, il n'en demeure pas moins que certains domaines, tels que les dépenses liées à la recherche et au développement en entreprise sont en perte de vitesse. Depuis 2005, la politique d'innovation fait l'objet d'une sensibilisation accrue de l'opinion publique. Ainsi, l'amélioration de la demande en recherche-développement, du nombre et du niveau des chercheurs, du personnel technique et les dépenses publiques en recherche-développement font désormais partie des priorités stratégiques de la politique scientifique et technologique en Turquie.
Les défis majeurs identifiés pour les prochaines années sont les suivants :
1. Augmentation des investissements en ressources humaines pour l'innovation
La Turquie a besoin de renforcer le nombre et le niveau de son éducation au niveau tertiaire afin d'encourager l'innovation sur le territoire. A cet égard, le rapport rappelle que la Turquie a pris certaines mesures allant dans cette direction, ce notamment en intégrant l'innovation dans le programme scolaire du secondaire, en encourageant les programmes de master et de doctorat en adéquation avec les besoins de l'industrie et enfin, en prenant la décision de créer 32 nouvelles universités publiques.
2. Renforcement de la coopération entre les milieux universitaires et industrielles
Le rapport insiste sur la nécessité d'établir de fortes connexions entre le secteur privé et la communauté scientifique dans la mesure où la majorité de la recherche-développement est menée par les universités. Les universités participent en effet à 58.9% des dépenses nationales en recherche-développement et emploient 73.2% des chercheurs. Il est par ailleurs regrettable que la production de haut-niveau de ces chercheurs ne soit pas transformée en innovation. Le gouvernement cherche à répondre à ces défis par certaines mesures significatives telles que l'établissement de centres de développement technologique (TEKMERs) et le soutien à l'établissement de parcs technologiques par le biais de la loi sur les zones de développement technologique.
3. Accroissement du niveau de financement initial
Le faible niveau de développement des capitaux-risque et de l'investissement providentiel constitue un obstacle de taille à l'essor d'entreprises innovantes en Turquie. Les choix des investisseurs ne se portant que très rarement sur les PMEs, ces dernières souffrent d'un manque de fonds, en particulier au cours des premières années. ..."
Pour en savoir plus :
Site du TUBITAK (Conseil de recherche scientifique et technologique de Turquie) : http://redirectix.bulletins-electroniques.com/IYxFp
- Site du KOSGEB (Direction générale du soutien et du développement des PME) : http://www.kosgeb.gov.tr/- Site du TTGV (Fondation du développement technologique de Turquie) : http://www.ttgv.org.tr/en/?PHPSESSID=a457837b054e49868378d6c77fdd3cff
Source :
Les défis majeurs identifiés pour les prochaines années sont les suivants :
1. Augmentation des investissements en ressources humaines pour l'innovation
La Turquie a besoin de renforcer le nombre et le niveau de son éducation au niveau tertiaire afin d'encourager l'innovation sur le territoire. A cet égard, le rapport rappelle que la Turquie a pris certaines mesures allant dans cette direction, ce notamment en intégrant l'innovation dans le programme scolaire du secondaire, en encourageant les programmes de master et de doctorat en adéquation avec les besoins de l'industrie et enfin, en prenant la décision de créer 32 nouvelles universités publiques.
2. Renforcement de la coopération entre les milieux universitaires et industrielles
Le rapport insiste sur la nécessité d'établir de fortes connexions entre le secteur privé et la communauté scientifique dans la mesure où la majorité de la recherche-développement est menée par les universités. Les universités participent en effet à 58.9% des dépenses nationales en recherche-développement et emploient 73.2% des chercheurs. Il est par ailleurs regrettable que la production de haut-niveau de ces chercheurs ne soit pas transformée en innovation. Le gouvernement cherche à répondre à ces défis par certaines mesures significatives telles que l'établissement de centres de développement technologique (TEKMERs) et le soutien à l'établissement de parcs technologiques par le biais de la loi sur les zones de développement technologique.
3. Accroissement du niveau de financement initial
Le faible niveau de développement des capitaux-risque et de l'investissement providentiel constitue un obstacle de taille à l'essor d'entreprises innovantes en Turquie. Les choix des investisseurs ne se portant que très rarement sur les PMEs, ces dernières souffrent d'un manque de fonds, en particulier au cours des premières années. ..."
Pour en savoir plus :
Site du TUBITAK (Conseil de recherche scientifique et technologique de Turquie) : http://redirectix.bulletins-electroniques.com/IYxFp
- Site du KOSGEB (Direction générale du soutien et du développement des PME) : http://www.kosgeb.gov.tr/- Site du TTGV (Fondation du développement technologique de Turquie) : http://www.ttgv.org.tr/en/?PHPSESSID=a457837b054e49868378d6c77fdd3cff
Source :
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire