Montée en puissance du Japon et de la Chine, des marques historiques du calcul scientifique tel que Cray et SGI (anciennement Silicon Graphics), tels sont les premiers résultats de la livraison de juin 2011 du classement Top500 qui répertorie les 500 supercalculateurs les plus puissants de la planète.
La répartition des 10 premières places n’apporte pas de grands changements avec 5 ordinateurs d’origine américaine, 2 japonais, 2 chinois et 1 français (le système Bull installé au CEA). Mais la grande surprise est l’arrivée du système japonais installé à l’Advanced Institute for Computational Science qui atteint 8 Pflops reléguant ainsi le supercalculateur chinois du National Supercomputiong Center loin derrière à la deuxième place avec ses 2,5 Pflops. Rappelons que ce système avait marqué les esprits puisqu’il avait permis à la Chine de prendre pour la première fois la première place de ce Top500. Pour la première fois également, les dix premiers systèmes dépassent le seuil du Pfops.
Le Japon qui avait connu un passage à vide pendant plusieurs années - alors qu’il détenu la première place avec l’Earth Simulator- revient en force. Qu’on en juge, la puissance cumulée des supercalculateurs japonais atteint 18 % du Top500 contre 3 % il y a seulement deux ans. De même, la Chine poursuit sa montée en force avec une puissance cumulée supérieure à 12 % du Top500 contre seulement 5 % il y a deux ans. Par contrecoup, les Etats-Unis voient leur domination s’effriter : une puissance cumulée de 42 % seulement contre 55 % en 2009.
La répartition des 10 premières places n’apporte pas de grands changements avec 5 ordinateurs d’origine américaine, 2 japonais, 2 chinois et 1 français (le système Bull installé au CEA). Mais la grande surprise est l’arrivée du système japonais installé à l’Advanced Institute for Computational Science qui atteint 8 Pflops reléguant ainsi le supercalculateur chinois du National Supercomputiong Center loin derrière à la deuxième place avec ses 2,5 Pflops. Rappelons que ce système avait marqué les esprits puisqu’il avait permis à la Chine de prendre pour la première fois la première place de ce Top500. Pour la première fois également, les dix premiers systèmes dépassent le seuil du Pfops.
Le Japon qui avait connu un passage à vide pendant plusieurs années - alors qu’il détenu la première place avec l’Earth Simulator- revient en force. Qu’on en juge, la puissance cumulée des supercalculateurs japonais atteint 18 % du Top500 contre 3 % il y a seulement deux ans. De même, la Chine poursuit sa montée en force avec une puissance cumulée supérieure à 12 % du Top500 contre seulement 5 % il y a deux ans. Par contrecoup, les Etats-Unis voient leur domination s’effriter : une puissance cumulée de 42 % seulement contre 55 % en 2009.
Source: infoDSI.com
lundi 20 juin 2011
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire