Ci-dessus une vue de profil et une vue de face de la galaxie virtuelle Eris. Crédit : Nasa/ESA/C&E Photos.
La Galaxie virtuelle Eris crée par Javier Guedes est un succès pour la simulation numérique : elle ressemble comme deux goutes d'eau à la Voie Lactée.
Une première mondiale
Jusqu'ici personne n'avais réussi à entrer dans un ordinateur des paramètres capables de retracer la formation et l'évolution d'une galaxie comme la Voie Lactée. Javiera Guedes a obtenu sa thèse en astrophysique à l'université californienne de Santa Cruz en réussissant cette prouesse.
Baptisée Eris, la galaxie virtuelle est une galaxie spirale massive, avec une barre centrale d'étoiles brillantes et des bras spiraux. La simulation met en évidence le rôle joué par les collisions de galaxies et la matière sombre dans la formation d'une telle galaxie.
Une armée de processeurs
Ce projet a requis un temps de calcul vertigineux incluant 1,4 millions d'heures de processeur sur le supercalculateur Pleiades de la NASA, plus du temps complémentaire au Centre National Suisse de Superordinateur. Le temps réel de calcul est plus court car cette charge est répartie entre les milliers de processeurs que comptent ces ordinateurs ultra puissants. Il n'en faut pas moins pour faire interagir les 60 millions de particules de matière sombre et de gaz que compte la simulation de Javiera Guedes.
Une première mondiale
Jusqu'ici personne n'avais réussi à entrer dans un ordinateur des paramètres capables de retracer la formation et l'évolution d'une galaxie comme la Voie Lactée. Javiera Guedes a obtenu sa thèse en astrophysique à l'université californienne de Santa Cruz en réussissant cette prouesse.
Baptisée Eris, la galaxie virtuelle est une galaxie spirale massive, avec une barre centrale d'étoiles brillantes et des bras spiraux. La simulation met en évidence le rôle joué par les collisions de galaxies et la matière sombre dans la formation d'une telle galaxie.
Une armée de processeurs
Ce projet a requis un temps de calcul vertigineux incluant 1,4 millions d'heures de processeur sur le supercalculateur Pleiades de la NASA, plus du temps complémentaire au Centre National Suisse de Superordinateur. Le temps réel de calcul est plus court car cette charge est répartie entre les milliers de processeurs que comptent ces ordinateurs ultra puissants. Il n'en faut pas moins pour faire interagir les 60 millions de particules de matière sombre et de gaz que compte la simulation de Javiera Guedes.
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